Le Café des Langues, c'est un espace multilingue pour discuter avec des gens de tous les pays dans leur langue maternelle ou dans la vôtre, tous les lundi de 20h à 22h au Code Bar (hors vacances scolaires).
Peter anime les discussions autour de sujets d'actualités, des centres d'intérêt de chacun ou d'activités ludiques.
Le Café des Langues s'adresse:
- Aux étudiants/résidents étranger à Saint Etienne et souhaitant soit parfaire leur français soit faire découvrir ou partager leur langue maternelle.
- Aux français souhaitant travailler une langue étrangère ou aider des étrangers à améliorer leur français.
Le Café des Langues est gratuit et ouvert à tous.
"Le Café des Langues" is a multi-language conversation club where you can talk to people from around the world in their own language or in yours. It takes place every monday evening from 8 to 10 at the Code Bar.
Peter introduces conversation through topics ranging from recent news items, participants' particular interests or little games.
"Le Café des Langues" is aimed at:
- Foreign students/residents in Saint Etienne wanting to improve their french or to introduce French people to their own language and help them practise it.
- French people wanting to better a foreign language, learn more about it or help foreign people with their French.
"Le Café des Langues" is free to join at any time and open to everyone.
Le blog du Code Bar
Le Code Bar est définitivement fermé, merci à tous pour ces bons moments!
mercredi 29 septembre 2010
lundi 20 septembre 2010
Concert de Blues avec Devil Jo pour les 10 ans du Code Bar, Samedi 23 Octobre
Publié par
Nils
A l'occasion des 10 ans d'existence du Code Bar, on vous propose de retrouver le Blues envoûtant de Devil Jo & the Back Door Men. Un son brut et profond mâtiné d'envolées mélodiques folk ou rock et la superbe voix de Sara, toujours chargée d'émotion.
Les Rough Blues Makers sont de retour. http://www.myspace.com/deviljothebackdoormen
jeudi 9 septembre 2010
Soirée Tapas, le Samedi 18 Septembre
Publié par
Nils
Pour le premier évènement de la saison 2010-2011, pas de prise de risque, on s'adresse à vos papilles. Du Tapas ras chic, du Tapas cyclope ou du Tapas lâche, y en aura pour toutes les petites faims.
(Photo non contractuelle)
...
(Photo contractuelle)
...
Y a du Progrès (1): un Pont dans le Gard
Publié par
Nils
Le Progrès (édition de Saint Etienne), c'est le petit bonheur quotidien de tout bistrologue qui sait se ménager une heure ou deux dans la journée où il n'a rien d'autre à faire que de lire le journal.
Et chaque jour, les coquilles innombrables, les titres improbables et les erreurs inclassables participent un peu au moral des troupes.
Parfois, une de ces boulettes sort du lot et je me propose à l'occasion de peupler une petite série intitulée "Y a du Progrès".
Sans plus attendre, en voici la première perle (de pluie, ha ha)...
Dans l'édition du 8 septembre 2010, en page 5, un article sur les inondations en Cévennes est accompagné de quelques photos. Sur celle reproduite ici, on peut lire en légende: "Le pont du Gard à demi-noyé sous les eaux."
(cliquez pour agrandir...)
A l'attention des remarquables stagiaires du Progrès qui triment dur chaque jour pour nous présenter une information sous forme jetable, de ceux -- plumitifs ou non -- qui n'ont jamais vu le pont du Gard (même en photo) et surtout pour les non-comprenants qui connaissent vaguement l'aqueduc et, ayant lu l'article, pensent qu'il était vraiment, mardi, dans la flotte jusque là, voici à quoi ressemble le pont du Gard lorsque le Gardon est à une hauteur normale:
(cliquez pour agrandir...)
Le pont représenté dans le Progrès est bien un pont, et il est bien dans le Gard, ce qui suffit à conformer l'encart aux standards du journalisme apparemment en vigueur dans notre beau quotidien, mais il est à Sommières.
C'est le Vidourle et non le Gardon qui y passe et le pont qui l'enjambe doit culminer à moins d'une dixaine de mètres au-dessus du niveau de l'eau hors crue. (des photos de Sommières)
Le vrai pont du Gard, lui, avoisine les 50 mètres de haut. Pour noyer le pont du Gard "à demi", il faudrait une crue du Gardon de 25 mètres...
Selon un quotidien local (ouais, il faudrait vérifier là aussi, mais bon on va dire qu'ils ont bon) à propos de la crue du Vidourle à Sommières: "...pour l'instant, le fleuve a atteint la cote maxi de 2 mètres alors qu'il faut 2,50 mètres pour la cote d'alerte." (La Dépêche, 08/09).
Et chaque jour, les coquilles innombrables, les titres improbables et les erreurs inclassables participent un peu au moral des troupes.
Parfois, une de ces boulettes sort du lot et je me propose à l'occasion de peupler une petite série intitulée "Y a du Progrès".
Sans plus attendre, en voici la première perle (de pluie, ha ha)...
Dans l'édition du 8 septembre 2010, en page 5, un article sur les inondations en Cévennes est accompagné de quelques photos. Sur celle reproduite ici, on peut lire en légende: "Le pont du Gard à demi-noyé sous les eaux."
A l'attention des remarquables stagiaires du Progrès qui triment dur chaque jour pour nous présenter une information sous forme jetable, de ceux -- plumitifs ou non -- qui n'ont jamais vu le pont du Gard (même en photo) et surtout pour les non-comprenants qui connaissent vaguement l'aqueduc et, ayant lu l'article, pensent qu'il était vraiment, mardi, dans la flotte jusque là, voici à quoi ressemble le pont du Gard lorsque le Gardon est à une hauteur normale:
Le pont représenté dans le Progrès est bien un pont, et il est bien dans le Gard, ce qui suffit à conformer l'encart aux standards du journalisme apparemment en vigueur dans notre beau quotidien, mais il est à Sommières.
C'est le Vidourle et non le Gardon qui y passe et le pont qui l'enjambe doit culminer à moins d'une dixaine de mètres au-dessus du niveau de l'eau hors crue. (des photos de Sommières)
Le vrai pont du Gard, lui, avoisine les 50 mètres de haut. Pour noyer le pont du Gard "à demi", il faudrait une crue du Gardon de 25 mètres...
Selon un quotidien local (ouais, il faudrait vérifier là aussi, mais bon on va dire qu'ils ont bon) à propos de la crue du Vidourle à Sommières: "...pour l'instant, le fleuve a atteint la cote maxi de 2 mètres alors qu'il faut 2,50 mètres pour la cote d'alerte." (La Dépêche, 08/09).
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