Le blog du Code Bar

Le Code Bar est définitivement fermé, merci à tous pour ces bons moments!

vendredi 18 novembre 2011

Boeuf au Code (video)

Prochain boeuf le vendredi 2 décembre.

mardi 11 octobre 2011

mercredi 28 septembre 2011

Jam Session au Code Bar - Vendredi 7 Octobre

Les boeufs (ou jam sessions) sont souvent pour les musiciens un moyen d'explorer de nouvelles pistes musicales, de trouver de nouveaux arrangements, de se rencontrer dans un cadre convivial et de pratiquer librement leurs instrument. Les boeufs peuvent être basés sur des morceaux existants, sur des grilles d'accords ou des mélodies/rythmes suggérés par l'un des participants, ou être complètement improvisés.
Traduction libre de la définition en anglais des Jam Sessions sur Wikipedia - http://en.wikipedia.org/wiki/Jam_session

    La saison dernière, nous avons erronément appelé ces soirées des "scènes ouvertes" -- lieu ou des groupes déjà formés peuvent se produire librement pour faire découvrir leur répertoire.
    Dans la théorie comme dans ce que nous avons vu se passer tout au long de la saison dernière il est bien plus agréable de privilégier les rencontres et les improvisations, ce pourquoi je me permets de réaffirmer qu'au Code Bar, vous pourrez écouter (et participer à) de vrais boeufs!
    Aux curieux comme aux habitués impatients, nous donnons donc rendez-vous vendredi prochain, 7 octobre pour faire de la musique, en écouter et boire un petit canon.

    P.S.: Pour organiser les soirées boeufs dans les meilleurs conditions, nous essayons de mettre un maximum de matériel à disposition. Dans ce but, nous lançons un appel à tous ceux qui auraient des amplis ou des instruments dont ils ne se servent pas ou pas beaucoup et qui accepteraient de les laisser en prêt au bar. Nous nous engageons bien sûr à entretenir, réparer et/ou remplacer le matériel le cas échéant. Merci par avance.

vendredi 23 septembre 2011

4ème anniversaire du Code Bar (saison 2), le 29 octobre avec AC/DChut!

    Le samedi 29 octobre, à partir de 15h et jusque tard dans la nuit, le Code Bar vous convie à son anniversaire.

    Pour l'occasion, nous avons invité un groupe inédit à Saint Etienne, AC/DChut (c'est AC/DÇU version acoustique):
Vous avez été déçu par le reggae, le ska, le rap et même le rock? Vous ne le serez pas moins par le Hard Rock d'AC/DÇU!
Imaginez Spinal Tap qui ne reprendrait que du AC/DC et vous aurez une idée de l'état desprit décevant mais hilarant de ce groupe.
Site officiel d'AC/DÇU

AC/DÇU sur Facebook

mardi 28 juin 2011

Vendredi 1er juillet : la soirée de Sandrine

    Comme vous le savez, Sandrine, qui a tenu les rennes du Code Bar tous les matins depuis presque 2 ans (et quelques jolies soirées aussi) nous quitte à la fin de la semaine.
    Nous nous proposons donc de fêter dignement son départ Vendredi 1er juillet!
    Comme c'est aussi le premier vendredi du mois, il y aura sans doute un peu de musique live et quelques surprises...

P.S.: Pendant que j'y pense, à partir du 1er juillet : ouverture à 13h!

vendredi 3 juin 2011

Poême...

Coeur allégé, gorge alésée, coude arimé
Le voila bien ancré sur son quat'pieds, perché
Ses deux feuilles absorbent de belles ritournelles
Pas celles qui endorment, mais bien celles qui éveillent

En rouge globule
Verve, haine ou bulles,
Sous les notes bleues
Sang des aieux

Regard rampant le long de ce tube crépis
L'usuelle émulsion des fluides de la tireuse
Qui floute la bande son, lisse l'ambiance railleuse
S'abrège en fade out dans son oeil obscurci

En rouge globule
Verve, haine ou bulles,
Sous les notes bleues
Sang des aieux

Le biclou est au sol, préparé au zig zag
Il salue trois quatre zigs, eux aussi dans le vague
En bon Epicurien, habité par la nuit,
Il bouffe son demain au profit d'aujourd'hui.

Par Bazius Screun

dimanche 29 mai 2011

Gil Scott-Heron (April 1, 1949 – May 27, 2011)

    A role model shouldn't be someone you try to follow or emulate, they're rather guiding figures, whom ideas, sayings, works and intents one aims to keep alive, then and now. Now and then...

    RIP the seventies, RIP undergound music, RIP poets and bluesologist, RIP protests and activism through meaningful music, ideals and jazz? RIP poets and bluesologists...

    My joys will henceforth be lessened by your absence in the way my downtimes were eased by your music, your words. And forever will be.

    Wherever I end up, there'll be a picture of you on a wall to remind me of what I try to be and ain't yet. There'll also be some music you made or inspired or were inspired by. Always...

    Screw rap, I just lost a Godfather of mine. And all of us did.

mardi 19 avril 2011

Corps à Cordes en concert, Samedi 14 Mai!


    Presque un an après un excellent premier passage au Code Bar, les musiciens de Corps à Corps reviennent le samedi 14 mai pour partager à nouveau leurs reprises enjouées de standards du swing et leurs compositions inspirées.

"Corps à cordes c’est une voix féminine baignée depuis l’enfance par la musicale ponctuation du phrasé, la prescience mélodique et la rigueur du rythme. Épaulée confortablement en cela par une solide équipe de mâles musiciens aguerris eux aussi depuis tout jeune à la musique classique, jazz ou flamenco… Ils en ont tiré un souffle, une honnêteté émotionnelle qui nous chavirent et nous enivrent... "

(Dd, LaBelle Madouna)

    A découvrir absolument sur http://www.myspace.com/corpsacordes et en live samedi 14 mai au Code Bar à partir de 20h.

lundi 28 mars 2011

Soirée Polar, le samedi 9 avril à 20h

    "Dans quelques secondes, il serait mort. Erno n’avait qu’à attendre. Il n’eut pas le courage de regarder en face le canon de l’arme par où jaillirait l’instant fatal. Il ne ferma pas les yeux non plus, ni n’entreprit une vaine prière. Erno posa son regard sur le sol. Aucune idée précise ne vint se fixer dans son esprit, aucun défilé d’images déroulant le fil de son existence comme l’aurait voulu la tradition littéraire… Son subconscient devait travailler dur pour nier l’implacable réalité."


    A l'occasion de la sortie d'"Alpes Noires", le troisième roman de Philippe Paternolli, les éditions du Caïman ont choisi le Code Bar pour une soirée conviviale autour de l'écriture et du polar, en présence de l'auteur.
    

mercredi 9 mars 2011

Original Jam Sessions @ Le Code Bar : deux fois plus souvent!

    Lorsque nous avons décidé, sur une suggestion de Pierre-Jean, de faire revivre une scène ouverte défunte à Saint-Etienne depuis la fin des mercredis du Thunderbird, l'objectif était clair: proposer aux musiciens intéressés de se faire plaisir et écouter de la bonne musique.


    Que dire, sinon que cet objectif a été largement dépassé, grâce au travail de Pierre-Jean et à l'intérêt que l'expérience a suscité chez un nombre grandissant de passionnés.
    La qualité musicale et la variété de styles abordés ont été simplement excellentes et la motivation affichés par les musiciens participants promet de bonnes surprises pour la suite.




    Du coup, nous avons décidé de doubler les soirées scènes ouvertes en conservant le premier vendredi de chaque mois et en y ajoutant le troisième mercredi.
    Bien sûr, les dates seront communiquées au fur et à mesure sur www.lecodebar.fr et sur facebook.
    On vous donne donc rendez-vous le vendredi 1er avril à 19h, puis le mercredi 20 avril.
    Pour l'heure, on se doit de remercier tous les musiciens qui ont animés d'excellente manière les dernières soirées et en particulier Pierre-Jean bien sûr, mais aussi Sara, François, Fred, Jean, Pierre, Karim, Joseph, Gibus et Yannick.

Nils

mardi 22 février 2011

Y a du Progrès (2): maudite hermaphrodite

Coquille du soir, espoir... A propos des candidats aux élections cantonales:
"les binômes ne devraient pas avoir omis de respecter la parité. Un candidat titulaire, qui ne présenterait pas un supplément de sexe opposé serait en effet automatiquement éliminé."
(Le Progrès, mardi 22 février)

mercredi 16 février 2011

Dernière minute: plus de Blues!


Samedi 19, The Butterfly Nut sera en guest de Deep Down pour une nouvelle soirée 100% blues au Code Bar!
http://www.myspace.com/thebutterflynut

lundi 31 janvier 2011

Happy Apéro!


    A partir de dorénavant, c'est Happy Apéro, tout les jours de 19h à 20h au Code Bar!
    Sodas, jus, bières et vins à 2€, un peu de fromage et de charcuterie, de la musique de qualité et de la bonne humeur pour vous remettre de la journée!

mercredi 26 janvier 2011

Samedi 19 février: Deep Down en concert à 20h

Deep Down
"Bastard Blues"

    Suivant les méandres du Blues depuis le Delta jusqu'à Detroit ou Chicago, Deep Down s'inspire de l'histoire du Blues pour ses compositions et reprend certains des plus grands standards avec sa propre sensibilité a grand renfort de guitare électrique et d'harmonica enragé, emmenés par une solide rythmique basse/batterie.


    Les 4 musiciens de Deep Down viennent nous rendre visite pour offrir au public sa musique, son énergie et son feeling.

    Jean-Baptiste Samouth à la guitare et au chant
    Bruno Arnoux à la basse
    Yoann Forestier à la batterie
    Philippe Colin à l’harmonica et au chant

http://www.myspace.com/deepdown43

vendredi 21 janvier 2011

Jolie Môme à Saint Etienne!

    Au cours de ses pérégrinations, votre serviteur a rencontré Jolie Môme à Paris, il y a une bonne dizaine d'années. Figure majeure du spectacle populaire et contestataire, la Compagnie met régulièrement en chansons et en scène les luttes, les espoirs, et les solidarités d'hier et d'aujourd'hui.
    Ils présentent le 28 janvier à Saint Etienne "Basta Ya!", leur dernier spectacle de chansons, à la salle Tardy.
La compagnie puise ses histoires dans l’Histoire.
Mais l’Histoire ce ne sont pas que quelques grands noms :
elle est faite de quotidien, d’humain, de spontané, bref, elle parle de nous.

Neuf comédiens et musiciens défendent un théâtre populaire et vivant, sur scène, au détour d’une rue ou sur un piquet de grève.
http://www.cie-joliemome.org

Pour une fois, vous aurez mieux à faire que de venir au Code Bar ce soir-là, et c'est rare!

le Vendredi 28 janvier 2011 à 20h30
Salle Tardy

86 rue Vaillant Couturier, 42000 Saint-Etienne
Tarifs : 12 et 7 euros
Réservations au 04 77 32 47 51

mercredi 19 janvier 2011

Le Code Bar, vu par Dd le Malfrat

    Dd nous honore d'un bout de prose amicale, ça mérite d'être repris en article.
    Ne manquez pas de venir le voir ce samedi 22/01, en chair et en mots!

LE CODE BAR : SO DRINK, SO MUSIC !
Où les esgourdes vibrent et les langues claquent !

    Il est, dans le dédale infernale de la profession limonadière, quelques rares endroits où il fait bon passer son spleen, refaire le monde entre amis, taper le carton, ou écouter de la bonne musique au son des glaçons du drink…

    Loin des pingouins en liquette, loufiats de ces brasseries avides, avares et froides, bruyantes comme un râle impersonnel continu, où l’on peut avoir l’impression d’être le jambon d’un espèce de club sandwich où l’humain participe à un perpétuel concours de l’enflure ; il est des estaminets, des bouges, des estencots ; des p’tits bistrots de derrière les fagots où il fleure bon la cordiale convivialité, les senteurs des humeurs partagés, l’acceptation amicale de l’autre, sans à priori, dès la porte franchie…

    Bien sûr, plus les cafés et les bars disparaissent, plus nous avons tendance à sacraliser les gargottes à l’ancienne… Il reste que ces lieux ferment les uns après les autres, lentement, inexorablement et, à leur place, la propension spéculative de proximité s’illustre le plus souvent par l’ouverture d’agences bancaires ou de cabinets d’assurance … Et là ce n’est plus les mêmes comptoirs ! Hold-up permanent des temps qui changent, au temps de l’hyper com, la parlotte fantasmée de ces réseaux sociaux où des machines se prennent à rêver d’êtres sans fil qui se parleraient, se toucheraient uniquement de bit à bit, bit après bit !... Et puis, « et puis le temps qui va trop vite », comme disait le grand Jacques… Les pressions sociales, familiales, économiques, professionnelles et politiques sont telles, que le temps qui nous reste à vivre est dérisoire… D’où, for exemple, le jeu de tachtes à cache-cache, en loucedé de petits chefs, vrais safe caméramen out of humanicus !
    Tout change en un éternel recommencement : Nullement passéistes, ne soyons pas pédants, frigides aux autres ! Ouvrons nous à franchir quelques portes… Et si il n’est peut-être plus besoin d’autant de lieux populaires pour accueillir les marées désuhamnisées, l’on apprécie avec délices que d’originaux nouveaux endroits, ou d’anciens lieux métamorphosés, nous proposent des pistes jouissives : de la tambouille aux petits oignons, de la musique live, des cafés lectures, des soirées linguistiques ou spoken word… Que sais-je encore, la slam-liste est loin d’être exhaustive !...

    Au Code Bar, nul besoin de permission à exister : Nils, le tenancier, a fait de cet ancien lieu technoïde un espace où, le midi, la jeunesse du bahut d’à côté prend son en-cas loin des peu ragoûtants cassetins scolaires aux hauts murs froids, été comme hiver… Le reste du temps, notre tavernier se fend de play-listes extraordinaires : Maître mélomane il a l’art de faire swinguer le zinc tout en finesse, des incontournables du blues, du rock et du jazz ; aux plus curieuses découvertes mélodiques de la création internationale comme locale ! On retrouve cet exigeant éclectisme dans la programmation musicale hebdomadaire du Code Bar que le patron n’agence que par coup de cœur, professionnellement irréprochable ; peut-être parce qu’il ne le fait pas dans l’espoir d’un tiroir caisse plus rempli, parce qu’il aime les artistes qu’il a pris la peine de découvrir avant que de les faire connaître aux happy few qui gardent le sens de la curiosité en un petit coin de bar…

    Le soir, « L’apéro, c’est les verres de contact ! » Ce leitmotiv phrasé que notre mélodrink man a repris à Antoine Blondin, décrit l’imprimatur voie lactée du partage qui sied à ce lieu ; une ambiance chaleureuse que les habitués du galion partagent avec d’illustres inconnus à brûle-pourpoint : Nul besoin d’avoir gardé les vaches ensemble pour boire du petit lait… Au gingembre, le lait ! Le zeste coloré des alcools stimule les papilles gourmandes, pendant que la pendule s’arrête en un espace-temps mélodique des plus salutaires… Au fronton des amitiés informelles, in vino veritas, c’est la Bacchus line !

A. Drouet p° Musiciens.biz
http://www.musiciens.biz/Le-Code-Bar-So-Drink-So-Music-_a3240.html
http://www.labellemadouna.org/.

mardi 11 janvier 2011

Dd le Malfrat en concert, Samedi 22 Janvier


    35 ans de musique sans concessions, de chansons enragées et de poésie inventive, c'est ce que se propose de célébrer cette année Dd le Malfrat, en commençant par un spectacle musical au Code Bar, le samedi 22 janvier à 20h.

    Pour se faire une idée du personnage, de ses joies et de ses rages, je vous propose d'écouter quelques morceaux de son album "Chansons Hétérogènes"* en lisant un extrait d'un texte de Dd sur la musique et l'approche qu'il en a...

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Quantcast*Album disponible au Bar
    "Je n’ai pas de préférence de style, je suis ouvert à la diversité, à la richesse de ce patrimoine mondial qui s’auto alimente et qui n’en finit jamais de réinventer dans le partage du sens, comme dans l’opposition des sens... Et sans rentrer dans des querelles d’Experts autoproclamés, il n’y a pas La Grande Musique, les Variétés et le R’n’Roll… Il y a, la Musique, ce champ infini des variations à explorer, ce chemin de traverse qui nous mène à l’autre, (l’autre artiste, l’autre public) ; ce véritable espace de liberté où l’on peut rêver, comprendre, construire, échafauder, se consoler, aimer ou crier… Sinon, ce n’est que de la gestion de public bien endoctriné, bien ordonné… Du sectarisme individualisé pour des publics, ainsi, toujours mieux manoeuvrés, dont les goûts et les couleurs sont rationalisés… La liberté réside dans le recul que l’on peut porter à l’offre, la curiosité dont on peut faire preuve,… Une certaine conscience de l’esgourde, si je puis dire!
    Une démarche volontariste dans la découverte ne vient pas toute seule… Et l’on pourrait, à ce propos, facilement regretté que nous n’ayons pas développé une éducation auditive et culturelle dès le plus jeune âge…
    Heureusement, que l’auto-éducation existe ! En fait, je n’aime pas ce qui est facile, suranné, trop emprunté… J’aime la chanson...

    La chanson : parce qu’elle peut être blues, pop, rock, celte, orientale, française, du monde… Parce qu’elle permet la poésie, le texte, l’histoire, le souvenir, la perspective… Parce qu’elle peut être populaire, sans être populiste, érotique sans être vulgaire ; politiquement incorrecte et bien mise sur elle, transcendantale et onirique, sans dogmes ni églises… Parce que la chanson de qualité ne vous fait pas payer sa bonne facture, à contrario du bizness mondial qui vend des savonnettes comme des armes, des armes comme des disques… (un skeud pour un scud !) Des disques à consommer sur place comme des oeuvres impérissables!
    Alors oui, j’aime tous ces genres, et même les autres ; j’aime leurs points d’accroches, leurs exécutions parallèles, simultanées, leurs vibrants partages… Cette grosse veine d’irrigation que les genres éclairés nourrissent pour que l’imagination perdure, que l’Homme s’interroge, trouve du repos, de l’énergie et, finalement, s’épanouisse…
    Que nous disent d'autre les perlés de la sueur du Blues, que l'on retrouvent dans toutes ses déclinaisons musicales actuelles?! Et puis, si dans les années 60 c'était une révolution d'insérer des arrangements cordes sur de la musique pop... Ce n'est plus le cas aujourd'hui! Et c'est dans les jeunes générations que l'on voit bien que le patrimoine musical est redigéré, pour, à part les mievreries pré-fabriquées, instaurer une certaine liberté de création, de ton, de prospective...
    S'approprier les frontières musicales pour s'en nourrir, pour mieux les enfoncer, pour mieux les sublimer : une démarche salutaire! Le fondement même de la musique contemporaine. Et, quoi qu'en dise la pseudo intelligensia conformiste, une forme certaine de respect."

Dd le Malfrat.
http://www.labellemadouna.org/

samedi 8 janvier 2011

Photos du bar